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100 Conseils


Nicole BAMBERGER


 


Daniel DESMAS
70 ans
Test le 31-03-2015 à 23 heures 42     200 - ( 70+40 ) = 90 pulsations/minute maximum
mon pouls est de 66 pulsations / minute au repos

Autres tests (avec bandelette / révélateur )
Prendre le Ph régulièrement de son urine et sa salive ....... et de l'eau de boisson


Prendre ' taux de sucre" de son urine  


La prise des pouls est un élément essentiel de diagnostic dans les médecines orientales.   

Il permet de déterminer les excès de Yin et de Yang, les caractères de vide ou de plénitude, ainsi que la qualité particulière de l’Énergie dans chacun des méridiens.

La notion de vide correspond à une insuffisance, un manque d’Énergie. cette insuffisance peut affecter l’organisme dans son ensemble, une région du corps ou simplement un organe. Au vide s’oppose la plénitude, qui correspond à un excès d’Énergie. L’excès, peut être du à un organe congestionné, une plénitude naturelle suivant l’heure et les saisons (voir chronobiologie ainsi que le l’horloge circadienne ci-dessous), une mauvaise circulation et répartition de l’Énergie dans le corps

Il faut savoir que quand il a plénitude dans un secteur de l’organisme, il y a toujours vide dans un autre secteur.

Le diagnostic par le pouls est un « art » très difficile et implique obligatoirement un niveau de connaissance avancé et une grande expérience. Acquérir la capacité de faire un bon diagnostic par le pouls demande une grande patience, et devenir compétent exige des années de pratique.

On détermine les pouls en plaçant un doigt sur chacune de ces zones. Une pression progressive de plus en plus profonde permet d’identifier les pouls profonds, un relâchement progressif de la pression détermine les pouls en surface.

Position des pouls :
Bras droit en surface ou en profondeur

Pouce (ciel) Gros Intestin, Poumon

Barrière (homme) Estomac, Rate/Pancréas

Coudée (terre) Ming Men, Rein droit

Bras gauche en surface ou en profondeur

Pouce (ciel) Intestin Grêle, Cœur

Barrière (homme) Vésicule Biliaire, Foie

Coudée (terre) Vessie, Rein gauche





Notre Bien-être au quotidien Naturellement  
Pour une Santé illimitée .........c'est possible .........!

La philosophie adoptée afin de conserver ou de recouvrer le bien-être repose sur les deux grands principes fondamentaux suivants :
 1 – Tout ce qui concerne, le physique, l’habitat et son environnement, l’alimentation, l’état émotionnel a un impact sur le bien-être.
2 – Chacun de ces domaines est en interaction avec les trois autres et leur est étroitement associé. En conséquence,
considérer que vouloir en isoler un sans se préoccuper des autres constitue une erreur majeure;
le bien-être doit toujours être envisagé sous un aspect global
( c’est l’approche bio-systémique). La méthodologie proposée et exposée comporte 4 grandes étapes :

1.   L’élimination des désordres d’ordre physique dus :
       
a.   au déboîtement de l’Atlas  ........
( Atlas ré-emboité : meilleur diagnostique puisque
les énergies sont libérées......! )
        b.  aux cicatrices
        c.   aux dents
      
 d.  au système immunitaire ........
Louis-Claude Vincent
(«Tout état vivant (et même tout état minéral en solution) est rigoureusement défini par trois facteurs,
correspondant à des valeurs électroniques :
le pH, le rH2 et la résistivité.»)
2.   L’élimination des nuisances relatives à l’habitat et son l’environnement.
3.   L’élimination des nuisances et des carences relatives à l’alimentation.
4.   L’élimination des désordres dus à l’état émotionnel.

Il faut insister sur le fait qu’il est très important de traiter d’abord le premier point (a : déboîtement de l’atlas) afin d’aborder les autres points ( 1b, 1c, 1d, 2, 3 et 4) dans les meilleures conditions possibles.
Source : Médecine Autrement





Nicole BAMBERGER



Daniel DESMAS

En retraite, je m'applique chaque jour
à une sieste-relaxation de 1/2 heure à 1 heure
(respect des consignes ci-dessus)


La sieste : 20 minutes pour se régénérer

Dormir après le déjeuner : un rêve… impensable pour la plupart des “actifs”. Dommage, car les spécialistes ne cessent de vanter les mérites de cette pause : la sieste accélère la mémoire et libère la créativité.

Agnès Rogelet

Sommaire
Une faiblesse inéluctable
Accepter de lâcher prise
Sieste flash : comment récupérer en 2 minutes
La sieste du salarié : droit ou cadeau empoisonné ?
Un spa... pour coincer la bulle
Etre la proie du sommeil, Mireille, 36 ans, adore. « J’aime cette torpeur qui précède la sieste. Je perçois les rayons du soleil à travers la vitre, je prends une couverture et là, je sens mon corps absorbé par la chaleur. Je l’écoute, je le laisse aller. Quelquefois, je passe surtout du temps à m’endormir. Mais c’est du temps volé que j’aime voir s’écouler… »
Depuis la fin des années 1990, le psychologue Bill Anthony, directeur du Centre de réhabilitation psychiatrique à l’université américaine Harvard, étudie les bienfaits de cette coupure antistress. Elle favoriserait la mémorisation et, par une remise à neuf du cerveau, permettrait d’assimiler de nouvelles données. D’autres études avancent que, grâce à ces vingt minutes de repos, les performances intellectuelles augmenteraient de 20 % ! Et ses fervents défenseurs soulignent qu’elle libère la créativité, au vu de la liste des génies qui l’ont adoptée : Isaac Newton, Archimède, Victor Hugo, André Gide… De quelle façon ? Mystère ! Aux yeux des scientifiques, ses mécanismes restent encore mal connus.

Une faiblesse inéluctable

La sieste (du latin sexta, ou sixième heure du jour) désigne un temps de repos pris après le repas de midi. Selon Michel Tiberge, neurologue au Centre du sommeil de Toulouse, « l’être humain est génétiquement programmé pour avoir tendance à s’endormir vers 14-15 heures ». A cette heure clé, l’attention baisse, les paupières clignent, la tête chancelle. Certains piqueront du nez, d’autres ne se souviendront pas de ce qu’ils viennent de lire, mais cette petite faiblesse, même si on ne la perçoit pas consciemment, est inéluctable.

« Ce moment correspond d’ailleurs à un pic des accidents de la route », met en garde Anne-Marie Malabre, biologiste au Palais de la découverte et commissaire de l’exposition « Le sommeil, un art de vivre ». « Mais si cet état dépend de notre horloge circadienne (sur vingt-quatre heures), il n’est lié à aucun phénomène physiologique tels que ceux que l’on enregistre avant l’endormissement du soir, comme la baisse de température du corps. » Même si un repas trop riche, une dépense physique ou l’effet de la chaleur déstabilisent l’organisme et peuvent accentuer ce coup de barre.


Ma chambre sieste-relaxation au sous-sol : calme absolu et nuisances éliminées



Test avril 2015 : Taux moyen hebdomadaire de Radon 57 Bq/m3  (seuil critique entre 120 et 130 Becquerels)
Aération régulière de cette pièce



Notre Bien-être au quotidien Naturellement  
Pour une Santé illimitée .........c'est possible .........!

La philosophie adoptée afin de conserver ou de recouvrer le bien-être repose sur les deux grands principes fondamentaux suivants :
 1 – Tout ce qui concerne, le physique, l’habitat et son environnement, l’alimentation, l’état émotionnel a un impact sur le bien-être.
2 – Chacun de ces domaines est en interaction avec les trois autres et leur est étroitement associé. En conséquence,
considérer que vouloir en isoler un sans se préoccuper des autres constitue une erreur majeure;
le bien-être doit toujours être envisagé sous un aspect global
( c’est l’approche bio-systémique). La méthodologie proposée et exposée comporte 4 grandes étapes :

1.   L’élimination des désordres d’ordre physique dus :
        a.   au déboîtement de l’Atlas  ........
        b.  aux cicatrices
        c.   aux dents
        d.  au système immunitaire ........
Louis-Claude Vincent
2.   L’élimination des nuisances relatives à l’habitat et son l’environnement.
3.   L’élimination des nuisances et des carences relatives à l’alimentation.
4.   L’élimination des désordres dus à l’état émotionnel.
(le repos, impact direct pour notre bien-être)

Il faut insister sur le fait qu’il est très important de traiter d’abord le premier point (a : déboîtement de l’atlas) afin d’aborder les autres points ( 1b, 1c, 1d, 2, 3 et 4) dans les meilleures conditions possibles.
Source : Médecine Autrement



Nicole BAMBERGER


 




Certains s’imaginent que l’exercice hâte l’élimination. Ils se trompent énormément. (approche hygiènisme)

L’exercice, la marche, le travail, dévient les énergies vers les muscles et ralentissent donc l’élimination.

Il n’existe pas de méthode plus efficace pour hâter l’élimination que le repos au lit. Une plus grande activité augmente la production des déchets, alors qu’une activité réduite restreint la production des toxines. Une activité accrue dépense de l’énergie, tandis que le repos et le sommeil conservent cette énergie.
Plus un corps est stimulé, moins il devient capable d’assumer ses fonctions. Donnez-lui du repos suffisamment pour permettre la récupération, la réforme et la réparation, et sa vigueur et son efficacité fonctionnelles en seront augmentées.
Une plus grande quantité d’énergie est dépensée dans l’activité physique. Si le repos est substitué à l’activité, l’énergie habituellement dépensée dans cette activité physique devient disponible pour une utilisation autre, et, pour le moment du moins, à un travail plus important.
La Nature ne coupe pas l’appétit, ne met pas le malade dans un état de prostration et n’arrête pas ses activités, tant mentales que sexuelles et sensorielles, pour rien. Celles-ci sont des mesures de conservation destinées à sauvegarder les énergies habituellement dépensées dans ces formes d’activités, afin qu’elles puissent être disponibles pour d’autres utilisations, comme par exemple, dans un travail plus important de rétablissement.
»L’activité consomme les substances du corps. Elle est dépensière de vie. Une activité accrue augmente la consommation de substance corporelle. Pendant le repos, les cellules, les tissus et les organes sont réparés, réformés, et renouvelés. Le repos est créateur de vie. Les organes qui se reposent sont plus capables de réparer leurs structures endommagées, que les organes en état de stimulation. Le repos et le sommeil sont les  procédés de restauration les plus qualifiés ». SHELTON
La stimulation réduit donc le pouvoir fonctionnel, par la dépense d’énergie supplémentaire et l’accroissement des déchets métaboliques.
Nous parlons ici, bien sûr, du repos dans le sens le plus large du terme, c’est à dire le repos physiologique qu’est le jeûne. Quand on ne jeûne pas, il est impossible de garder le lit le jour. Mais quand on jeûne, il s’installe dans le corps, au bout de quelques jours, une sorte de relaxation authentique qui oblige à garder le lit avec plaisir.
« Le véritable stockage des réserves d’énergie, la recharge des batteries corporelles, se produisent pendant le repos. La stimulation (irritation ou excitation) d’un corps épuisé, ne fait que précipiter l’épuisement des quelques réserves restantes, et amène l’effondrement final plus rapidement.
Plus le corps est stimulé, plus vite il atteint l’état d’épuisement total. Par ailleurs, plus le corps est faible, moins il est capable de résister aux stimulants et plus grande est la nécessité de ne « rien faire » d’une façon intelligente.
Seuls ceux qui possèdent une expérience suffisamment approfondie avec, d’une part la pratique du stimulant (gaspillage des forces) et d’autre part, la pratique du repos (conservation des forces) – seuls ceux-là peuvent juger du mérite des deux pratiques et peuvent former un jugement réellement circonstancié.
Celui qui n’a pas complètement abandonné la pratique du stimulant, et qui, par manque de connaissance expérimentale de la question, proclame la supériorité de la pratique stimulante sur la pratique de conservation des forces, celui-là raisonne comme les philosophes en pantoufles. Il ne sait pas, il ne peut pas savoir ce dont il parle. Telle l’araignée qui tisse sa toile, il échafaude une théorie fantastique sur la toile de son imagination ». SHELTON

L’élimination se passe au niveau des cellules et non à celui des émonctoires (peau, foie, rein, etc.) Ces derniers ne font que rejeter des substances déjà éliminées. Le foie transforme les matières éliminées par les cellules en matières plus simples et éliminables. Les reins les filtrent du sang et les rejette dans la vessie.

Donc, pour hâter l’élimination, il faut pousser les cellules, non les émonctoires à éliminer. Comment ?
A cet effet, il faut savoir comment fonctionne nos cellules. Les cellules ont besoin pour fonctionner avant tout d’énergie nerveuse. Quand celle-ci est abondante, elles éliminent beaucoup, sinon elles éliminent peu. Comment augmenter cette énergie nerveuse ? Aucune substance ne vous la donnera, aucune méthode, aucun stimulant.
On ne peut augmenter l’énergie nerveuse qu’en se reposant, en économisant sur les dépenses physiques, musculaires, digestives, sexuelles. Comment économiser ? Par le repos musculaire, stomacal, sexuel, etc.
On ne hâtera pas l’élimination en stimulant les émonctoires.

LE SURMENAGE :

Le surmenage, qu’il soit physique ou mental, épuise vos réserves nerveuses, diminue votre capacité de défense, vous expose à des problèmes mécaniques variés. Le moindre faux pas ou faux mouvement seront immédiatement sanctionnés par une entorse, une élongation musculaire ou un blocage brutal. Un mouvement répétitif dans une mauvaise position peut entraîner une inflammation musculaire, puis une tendinite ou une contracture désagréable, voire invalidante (notamment au niveau des épaules).



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La philosophie adoptée afin de conserver ou de recouvrer le bien-être repose sur les deux grands principes fondamentaux suivants :
1 – Tout ce qui concerne, le physique, l’habitat et son environnement, l’alimentation, l’état émotionnel a un impact sur le bien-être.
2 – Chacun de ces domaines est en interaction avec les trois autres et leur est étroitement associé. En conséquence,
considérer que vouloir en isoler un sans se préoccuper des autres constitue une erreur majeure;
le bien-être doit toujours être envisagé sous un aspect global
( c’est l’approche bio-systémique). La méthodologie proposée et exposée comporte 4 grandes étapes :

1.   L’élimination des désordres d’ordre physique dus :
        a.   au déboîtement de l’Atlas  ........
        b.  aux cicatrices
        c.   aux dents
        d.  au système immunitaire ........
Louis-Claude Vincent
2.   L’élimination des nuisances relatives à l’habitat et son l’environnement.
3.   L’élimination des nuisances et des carences relatives à l’alimentation.
4.   L’élimination des désordres dus à l’état émotionnel.
(le repos, impact direct pour notre bien-être)

Il faut insister sur le fait qu’il est très important de traiter d’abord le premier point (a : déboîtement de l’atlas) afin d’aborder les autres points ( 1b, 1c, 1d, 2, 3 et 4) dans les meilleures conditions possibles.
Source : Médecine Autrement







Nicole BAMBERGER


 

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