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La Médecine Autrement

Ma Méthode

LA MEDECINE AUTREMENT


MÉTHODOLOGIE GÉNÉRALE  pour CONSERVER ou RECOUVRER  LA SANTÉ PHYSIQUE


SOMMAIRE :  Philosophie générale

I – L’ÉLIMINATION DES NUISANCES RELATIVES À L’ENVIRONNEMENT
Les nuisances dues à certains matériaux
Les nuisances à caractère géobiologique
Les nuisances à caractère électromagnétique

II – L’ÉLIMINATION DES NUISANCES ET DES CARENCES RELATIVES À LA NOURRITURE
La qualité des produits consommés
Le problème du mode de cuisson
Le problème des carences

III - L’ÉLIMINATION DES DÉSORDRES D’ORDRE OSTÉOPATHIQUE
Deux exemples
Comment expliquer de tels faits ?

IV – L’ÉLIMINATION DES DÉSORDRES DUS AUX CICATRICES ET AUX DENTS
Le problème des cicatrices
Le problème des dents

V – L’ÉLIMINATION DES TOXINES ACCUMULÉES DANS L’ORGANISME
5.1 - Le délicat problème du drainage des toxines
5.2 – Le soutien des défenses immunitaires
5.3 – Le soutien des intestins
5 4 – L’élimination des toxines
Le traitement des toxines générales
Le traitement des métaux lourds
Le traitement des radicaux libres
Le traitement des toxines spécifiques
5.5 - Le cas particulier des vaccins

Conclusion

Philosophie générale
La philosophie que nous avons adoptée afin de conserver ou de recouvrer la santé repose sur les deux grands principes fondamentaux suivants :
1 – Tout ce qui concerne le physique, le mental, l’émotionnel et l’inconscient a un impact sur la santé.
2 – Chacun de ces domaines est en interaction avec les trois autres et leur est étroitement associé.

En conséquence, nous considérons que vouloir en isoler un sans se préoccuper des autres constitue une erreur majeure; la santé doit toujours être envisagée sous un aspect holistique.

Dans ce document, nous n’aborderons que les aspects qui concernent le domaine physique.

La méthodologie que nous proposons et que nous allons exposer comporte 5 grandes étapes :
1 – L’élimination des nuisances relatives à l’environnement.
2 – L’élimination des nuisances et des carences relatives à la nourriture.
3 – L’élimination des désordres d’ordre ostéopathique.
4 – L’élimination des désordres dus aux cicatrices et aux dents.
5 – L’élimination des toxines accumulées dans l’organisme.

Nous insistons sur le fait qu’il est très important de traiter d’abord les quatre premiers points afin d’aborder le cinquième dans les meilleures conditions possibles.


I – L’ÉLIMINATION DES NUISANCES RELATIVES À L’ENVIRONNEMENT
L’environnement est de plus en plus souvent la source de nuisances importantes, souvent très insidieuses.
Il faut être d’autant plus attentif qu’il s’agit d’un domaine particulièrement mal connu. Les aspects suivants devront donc être analysés soigneusement :

   Les nuisances dues à certains matériaux
De nombreux matériaux "modernes" sont capables de causer des nuisances très sérieuses du fait de leur permanence. Ainsi l’atmosphère de certains appartements peut être encore plus polluée que l’air extérieur.
Si certaines nuisances sont bien connues aujourd’hui, d’autres peuvent être très difficiles à identifier et pour le moins inattendues, comme le latex utilisé pour fabriquer des matelas très fermes. Ce type de matelas est souvent conseillé pour soigner le "mal au dos". Or, si leur effet bénéfique est loin d’être démontré, on constate par contre qu’ils ont parfois un impact négatif sur la qualité du sommeil, quand ils ne sont pas la cause directe d’insomnies !
Pour comprendre les causes de ce phénomène, il suffit de savoir que le latex est un excellent isolant thermique et électrique, ce qui "isole" le dormeur des ondes telluriques normales dont nous avons besoin pour dormir correctement. Cela permet d’expliquer pourquoi certaines personnes disent se sentir mal à l’aise sur ce type de matelas et avoir l’impression de "griller". Qu’il s’agisse d’un produit naturel ne change absolument rien au problème qui est lié à des caractéristiques physiques (ainsi, le curare est un produit naturel qui, lui, endort parfaitement !)
Le fait que les Asiatiques couchent sur des futons (réalisés en coton), posés à même le sol, explique peut-être en partie leur remarquable dynamisme.

   Les nuisances à caractère géobiologique
Ce type de nuisances est dû à des causes géobiologiques généralement peu connues, à savoir : les réseaux telluriques (Hartmann, Curry, etc.), les cours d’eau souterrains, les failles, les champs électromagnétiques, etc.
Le livre "Les réseaux géobiologiques" de Gilbert Fleck et Jean-Pierre Garel – Ed : Trois Fontaines, fournit un ensemble d’explications très pertinentes sur ce sujet.

Ces phénomènes, bien qu’encore impossibles à mesurer avec des moyens conventionnels, ne peuvent être ignorés du seul fait que leur corrélation avec des pathologies majeures a été mise en évidence dans de nombreux cas. Il est d’ailleurs avéré depuis très longtemps qu’il n’est pas rare de voir une personne retrouver un sommeil réparateur après avoir seulement changé la position de son lit ! Aussi, lorsqu’une personne souffre de maux bizarres et inexplicables, il est prudent d’envisager l’existence possible d’une nuisance de ce type.
La grande difficulté dans ce domaine consiste alors à trouver un spécialiste réellement compétent, capable d’identifier avec précision la cause réelle du problème et d’y remédier sans mettre l’habitation sens dessus dessous.

   Les nuisances à caractère électromagnétique
Les effets des "champs" électriques et magnétiques sur les organismes vivants sont indiscutables. La question qui se pose aujourd’hui, vu la multiplication des sources d’émission, est de savoir quelle est leur nocivité exacte. C’est ainsi qu’en Suède, suite à des études épidémiologiques, on a pu mettre en évidence une augmentation significative des cas de leucémie, notamment chez les enfants habitant à proximité de lignes à haute tension.

Ce constat a débouché sur l’adoption de normes à ne pas dépasser, soit : 10 Volts / mètre pour les champs électriques et 2 milligauss pour les champs magnétiques (il s’agit là de caractéristiques faciles à mesurer). Or, il faut savoir que ces valeurs sont couramment dépassées au voisinage de certains appareils comme : les tubes cathodiques (écrans de télévision et d’ordinateur), des petits transformateurs d’usage courant et anodins en apparence, les plaques à induction, les moteurs, etc.

En pratique, il faut donc se défier de tous les appareils électriques, d’autant que les champs magnétiques ont la fâcheuse propriété de traverser les murs. Ainsi, un lit séparé d’un poste de télévision par une cloison n’est pas protégé par celle-ci !

Parmi les nuisances possibles, nous insisterons sur le fait que ces rayonnements peuvent avoir une incidence non négligeable sur la qualité du sommeil. Il est donc particulièrement important d’éloigner les lits de toutes les sources de courant électrique (0,5 à 1 mètre constitue une distance raisonnable).
On notera qu’il existe actuellement des appareils électroniques (comme le Biorupteur [1]), qui coupent automatiquement les circuits d’alimentation d’une pièce dès que tous les appareils situés dans celle-ci sont éteints, ce qui supprime totalement ce type de nuisance.

II – L’ÉLIMINATION DES NUISANCES ET DES CARENCES RELATIVES À LA NOURRITURE
Deux types de problèmes apparaissent aujourd’hui dans les produits que nous consommons et qui jouent un rôle fondamental dans la nutrition : d’une part, la qualité des produits ; d’autre part, l’absence de certaines substances indispensables (vitamines, oligo-éléments etc.).

   La qualité des produits consommés
Comme il s’agit d’un domaine trop vaste pour être abordé ici, nous ne prendrons qu’un seul exemple pour montrer à quel point il faut être vigilant : celui de l’eau de boisson.
Ainsi, il faut savoir que :
- le rôle essentiel de l’eau n’est pas de nous apporter des minéraux, comme on cherche à nous le faire croire. Cet argument n’est rien d’autre qu’une publicité assez mensongère puisque ces minéraux se présentent sous une forme peu assimilable. Quant aux minéraux faciles à assimiler, on les trouve dans les fruits et les légumes "normaux".
- les eaux minérales étaient, il n’y a pas si longtemps, réservées à des cures effectuées sous contrôle médical. Leur utilisation inconsidérée peut même avoir des conséquences très néfastes sur la santé des consommateurs. De plus, il est avéré qu’elles perdent rapidement une grande partie de leurs propriétés après leur mise en bouteille.
- beaucoup de bouteilles d’eau vendues en grandes surfaces, y compris des eaux de source comme la Volvic et l’eau du Mont Roucous, sont susceptibles d’avoir été irradiées. Or, il faut savoir que ce procédé a une incidence sur leur structure moléculaire et, par conséquent, leurs propriétés métaboliques ; il est donc prudent de se renseigner auprès du fournisseur. En cas de besoin, il faudra rechercher une solution appropriée (autre fournisseur, achat d’un osmoseur, réénergétisation, etc.).

   Le problème du mode de cuisson
Le mode de cuisson pose un problème important sur lequel il faut attirer l’attention. Deux facteurs jouent un rôle essentiel : la durée de la cuisson et la température. Dès 50°, certaines vitamines commencent à se détruire. A 100°, les cellules qui contiennent de l’eau éclatent. Passé 180°, les graisses se décomposent (attention notamment aux pyrobenzènes cancérigènes des grillades).

En conclusion, selon que l’on utilise la vapeur, la marmite, la casserole, la cocotte minute, le four normal ou le four à micro-ondes, la valeur biologique des nutriments est considérablement modifiée par le type de cuisson. On aura donc intérêt à privilégier celui qui garantit le meilleur résultat.

Deux moyens de cuisson performants
A titre indicatif, nous allons indiquer ici deux formules particulièrement intéressantes :
1 - La " vapeur douce "
Le but recherché est de disposer d’une source de vapeur dont la température n’atteint jamais 100°.
Un appareil, baptisé le " Vitaliseur de Marion [2] " a été conçu en conséquence.

2 - La cuisine à l’étouffée
Certaines casseroles sont spécialement conçues pour ce type de cuisson. A noter que celles fabriquées par AMC permettent de contrôler en permanence la température.
Il faut ajouter à ceci deux précisions :
- primo, que la cuisine à l’étouffée conserve l’intégralité des substances contenues dans les produits utilisés, ce qui exige d’avoir la garantie que ceux-ci soient de bonne qualité.
- secundo, que le Vitaliseur de Marion a l’inconvénient de faire perdre certaines substances qui passent dans l’eau de cuisson. Par contre, il faut remarquer que cela devient un avantage si l’on utilise des produits non biologiques ou douteux.

BIBLIOGRAPHIE
Pour avoir une vue plus exhaustive des problèmes relatifs à la nutrition, on peut se reporter aux documents ci-après :
- Manger Vrai - Guy-Claude BURGER - Ed. Le Rocher
- Sauvez votre Corps - Dr KOUSMINE - Ed. Robert Laffont-
- Le Lait - Une sacrée Vacherie - Dr LE BERRE - Ed. Equilibres
- L’ALIMENTATION ou la troisième médecine – Dr Jean SEIGNALET – Collection ÉCOLOGIE HUMAINE

   Le problème des carences
Il n’est un secret pour personne que les produits alimentaires issus de l’agriculture chimique sont de plus en plus carencés en de nombreux éléments. A force de ne redonner à la terre que les produits de base (l’azote, le phosphate et la potasse : N - P - K), les autres éléments finissent obligatoirement par se raréfier.
Par ailleurs, les variétés cultivées actuellement sont sélectionnées dans le but exclusif d’obtenir les meilleurs rendements au meilleur prix, sans tenir compte de leurs qualités nutritionnelles.
Personne ne conteste plus les inconvénients de cette politique qui explique l’arrivée en force sur le marché de multiples "compléments alimentaires" censés remédier aux carences.
Le problème, c’est que cette pseudo-solution présente deux inconvénients majeurs sur lesquels il convient d’insister lourdement :
- le premier, c’est que beaucoup de nutriments ne peuvent être métabolisés correctement par l’organisme que s’ils sont en synergie avec d’autres (exemple : le magnésium peut être inassimilable suite à un manque de sélénium). Or, cette synergie, présente de facto dans les aliments naturels, est difficile, voire impossible, à obtenir artificiellement.
- le deuxième inconvénient, c’est que ces produits contiennent souvent des molécules de synthèse dont il est impossible de prévoir aujourd’hui le comportement sur l’organisme à moyen et long terme.

D’autre part, en l’état actuel des connaissances, nul ne peut certifier qu’il n’existe pas encore quelques vitamines ou autres substances inconnues dont les carences peuvent avoir une incidence importante sur la santé. Leur absence systématique dans les compléments alimentaires existant risque donc de poser à terme des problèmes parfaitement imprévisibles.
Lorsqu’on sait que le seul manque de vitamine C provoque d’abord le déchaussement des dents et ensuite le scorbut, on ne peut exclure d’ores et déjà la possibilité que la fatigue chronique et nombre de malaises et autres maladies atypiques dont souffrent actuellement beaucoup de personnes soient dus en partie à des carences non identifiées.
Parmi tous les produits susceptibles d’améliorer la situation de manière significative, nous avons particulièrement retenu : l’aloé véra et le silicium organique (G5).
Il faut attirer ici l’attention sur le fait que les bons produits sont souvent très réactifs et s’oxydent rapidement. Il faut donc faire très attention à leur conservation.


III – L’ÉLIMINATION DES DÉSORDRES D’ORDRE OSTÉOPATHIQUE

   Deux exemples
Les deux exemples qui suivent permettent de mieux appréhender l’incidence que peuvent avoir les désordres d’ordre ostéopathique.
Le premier concerne des personnes soignées, parfois durant des années, pour des problèmes divers et incompréhensibles, et qui voient ceux-ci disparaître brusquement suite à quelques séances chez un ostéopathe ou un orthopracteur.
Le second concerne des enfants souffrant de crises d’asthme sévères et qui se voient guéris par une intervention visant à remettre en place des côtes passées en position de "subluxation" suite à une mauvaise chute.
Pour plus d’informations sur ce type de pathologie, on peut consulter le site :
http : // asthme-reality.com

   Comment expliquer de tels faits ?
L’exemple du doigt coupé qui fait toujours souffrir apporte un début de compréhension.
En effet, il suffit parfois de projeter sur la cicatrice un faisceau de lumière de longueur d’onde adéquate pour supprimer définitivement les douleurs. On peut donc dire que tout se passe comme si le cerveau utilisait cette information lumineuse pour modifier sa perception d’origine et enregistrer la nouvelle configuration de ce doigt.
Dans le cas de la subluxation des côtes, le cerveau semble être incapable de faire la différence entre cette configuration anormale et la présence d’un corps étranger dans le poumon, lequel doit être impérativement rejeté à l’extérieur. Cela expliquerait les crises d’étouffement qui s’ensuivent et qui peuvent aller jusqu’à l’asphyxie.

Dans les deux cas, on constate que les réponses de l’organisme ne sont pas adaptées à la situation réelle : tout se passe comme si le cerveau n’enregistrait pas correctement les modifications intervenues, notamment lors des opérations, et conservait en mémoire son référent initial.
En conclusion, pour éviter ce risque, on peut considérer qu’il est indispensable de s’assurer périodiquement du bon état ostéo-articulaire du corps, notamment après une mauvaise chute. En effet, suite à celle-ci, il n’est pas rare de conserver des séquelles qui n’apparaissent parfois que des années plus tard, ce qui les rend d’autant plus difficiles à traiter suite aux compensations qui s’installent. A noter qu’il est parfois nécessaire d’essayer plusieurs techniques pour trouver la bonne.

Par ailleurs, il ne faut pas oublier les bienfaits de la pratique régulière d’une activité physique adaptée aux possibilités de chacun. On pourra lire à ce sujet avec profit le petit livre : " Les cinq Tibétains " de Peter Kelder – Ed Vivez Soleil.


IV – L’ÉLIMINATION DES DÉSORDRES DUS AUXCICATRICES ET AUX DENTS

Il s’agit là de deux domaines qui doivent absolument faire l’objet d’une investigation rigoureuse tant leur incidence sur la santé peut être importante.

   Le problème des cicatrices
Nous avons observé que certaines cicatrices, notamment celles situées sur le trajet des méridiens d’acupuncture, étaient capables d’avoir un impact important sur ceux-ci, allant même parfois jusqu’à "modifier" leur trajet normal.
Pour la Médecine Traditionnelle Chinoise, cela signifie la mise éventuelle hors circuit de points d’acupuncture importants et un déficit énergétique des organes ou fonctions qu’ils alimentent, ouvrant ainsi la porte à l’apparition progressive de pathologies absolument incompréhensibles.
Il faut remarquer que ce concept correspond bien à la réalité puisqu’on a constaté que le traitement de certaines cicatrices par la neuralthérapie [3] entraînait parfois la disparition de douleurs situées dans des zones du corps fort éloignées de celles-ci.

Tout ceci explique parfaitement pourquoi il est le plus souvent impossible d’établir un lien "logique" entre une cicatrice et ses effets.
Pour s’affranchir de tout risque, le plus simple consiste donc à faire appel à un spécialiste en neuralthérapie qui vérifiera et traitera au besoin toutes les cicatrices. A noter que les cicatrices laissées par l’extraction des dents sont également concernées et peuvent conserver une certaine pathogénicité fort longtemps après les extractions.

   Le problème des dents
Il existe deux grands types de problèmes :
- le premier concerne les effets du mercure utilisé dans les amalgames dentaires.
- le second est dû aux courants électriques de type galvanique qui circulent lorsqu’on a dans la bouche des couronnes réalisées à partir de métaux différents.

Le problème des amalgames
A titre d’information, il faut savoir que le magazine " Médecines Nouvelles " faisait paraître son numéro de janvier / février / mars 92 avec, en page de couverture, un titre particulièrement évocateur :
" Les plombages - du poison dans la bouche ? ".
Il s’agissait d’une enquête résumée comme suit :
"Nous ouvrons le premier volet d’un dossier consacré à la toxicité des plombages au mercure, avec la présentation de deux émissions télévisées, qui ont bouleversé les Américains, et au cours desquelles ils ont pu voir sur leur écran des malades considérés comme incurables se lever de leur fauteuil roulant, quelques jours après l’extraction de leurs plombages au mercure."
Depuis, beaucoup d’autres informations allant dans le même sens ont fait l’objet de nombreuses publications [4].

Comment est composé un amalgame ?
Contrairement à ce que beaucoup de personnes croient encore, faute d’une information suffisante, un "plombage" ne contient pas du tout de plomb (heureusement). En fait, il s’agit d’un alliage à base d’argent, de cuivre, d’étain, de zinc et surtout de mercure (environ 50%). Cet alliage est réalisé à froid en mélangeant des métaux en poudre avec du mercure liquide.
On a cru fort longtemps que tous les composants utilisés se mélangeaient parfaitement et donnaient ainsi naissance à un matériau nouveau (une sorte d’alliage) parfaitement stable. Or, cette conception est complètement fausse et un simple examen effectué avec un microscope électronique permet de constater dans les amalgames la présence d’agrégats métalliques parfaitement localisés et environnés par du mercure.

Que devient le mercure des amalgames ?
De nombreux dentistes, notamment en Allemagne, ont mesuré avec des appareils spéciaux les vapeurs de mercure présentes dans la bouche de patients porteurs d’amalgames. C’est ainsi que l’on en a découvert qui avaient jusqu’à 200 fois la dose limite à ne pas dépasser dans l’atmosphère d’un local et au-delà de laquelle celui-ci est fermé !
A l’évidence, le mercure quitte les amalgames et voyage dans l’organisme.

Il faut savoir également :
- primo, que la toxicité du mercure est bien connue depuis très longtemps.
- secundo, que le mercure peut atteindre le cerveau en passant directement par les extrémités nerveuses.
- tertio, que les symptômes de la maladie d’Alzheimer, curieusement, ressemblent beaucoup à ceux des intoxications causées par le mercure et l’aluminium. On verra plus loin, dans ce document, en étudiant le problème des vaccins, que l’aluminium est présent, lui aussi, dans l’organisme. Ce constat prouve qu’il est impossible d’ignorer totalement un effet de synergie possible de ces deux métaux.

On ne peut donc que s’interroger sur les raisons du manque d’information dans ce domaine et de la persistance des responsables à vouloir ignorer cette réalité.

Le problème des métaux dentaires
Il faut rappeler que le fait de mettre deux métaux différents dans un électrolyte entraîne d’office la circulation d’un courant électrique (dit galvanique) qui a la propriété de désagréger l’un des deux. La salive constituant un très bon électrolyte, la présence d’amalgames et de métaux de nature différente dans la bouche entraîne donc d’office la libération d’ions métalliques. Ainsi, une couronne en or est capable de remettre en solution tous les autres métaux, notamment le mercure.

Parmi les questions que l’on peut se poser, il en est deux assez préoccupantes :
- la première concerne les perturbations possibles des enzymes possédant des liaisons métalliques.
- la seconde concerne les effets de certains métaux comme le nickel, souvent présent dans les prothèses dentaires. Cette préoccupation apparaît d’autant plus pertinente qu’il est largement admis aujourd’hui que ce métal constitue un cofacteur dans beaucoup d’allergies et que le nombre de celles-ci est en augmentation constante et rapide.
Il faut dire également, qu’on a utilisé des alliages contenant du béryllium, métal connu pour être très cancérigène, que les cancers du maxillaire ne sont pas si rares et que leur origine reste assez mystérieuse.

Comme on le voit, ce problème mériterait des investigations très sérieuses.

V – L’ÉLIMINATION DES TOXINES ACCUMULÉES DANS L’ORGANISME

Une prise de conscience est indispensable : c’est qu’il existe une corrélation directe entre la qualité de la santé et le niveau d’intoxication de l’organisme. C’est pourquoi nous considérons que l’élimination des toxines accumulées constitue une priorité incontournable.

Il faut insister lourdement sur le fait que cette opération n’a rien de simple ; c’est ce qui nous a conduit à préconiser l’élimination préalable de toutes les autres sources de nuisance.

5.1 - Le délicat problème du drainage des toxines
Il faut être particulièrement conscient de trois choses :
-  tout d’abord, que le corps peut avoir accumulé certaines toxines depuis très longtemps.
- ensuite, que leur élimination peut s’effectuer de manière discrète, mais aussi donner lieu à des crises importantes, voire très pénibles, notamment lorsque les remèdes choisis sont particulièrement efficaces.
- enfin, que cette élimination nécessite le bon fonctionnement des émonctoires (il s’agit des organes destinés à effectuer ce travail, comme le foie et les reins). S’ils se bloquent, le remède peut alors s’avérer pire que le mal puisqu’il entraîne la mise en circulation de toxines supplémentaires.

Dans la pratique, l’expérience montre que l’on a tout intérêt à commencer le drainage si possible avant le début d’un traitement (sauf les cas où il y a urgence), ce qui permet de minimiser les effets désagréables de celui-ci.

Le choix des draineurs
Il existe actuellement beaucoup de draineurs sur le marché. La grande difficulté est de trouver ceux qui sont réellement efficaces. A titre d’information, nous en citerons deux que nous avons utilisés et qui ont généralement donné des résultats satisfaisants :

Les produits " POCONEOL " (distribués en pharmacie)
On pourra utiliser en association le n°1 qui est un draineur général et le n°7 qui est un draineur hépato-rénal.
On notera qu’il est prudent de commencer par quelques gouttes par jour et d’augmenter progressivement les doses. En effet, on a observé des cas où les patients étaient tellement intoxinés (voire intoxiqués) que quelques gouttes étaient suffisantes pour entraîner des nausées. Il peut alors s’écouler plusieurs semaines avant de parvenir à supporter les doses normales.


Le " Drainavy " [5]
Ce produit a l’avantage de drainer quatre grands émonctoires à la fois (le foie, les reins, les voies biliaires et le système lymphatique).
Il faut insister ici sur le fait que son utilisation peut s’avérer précieuse lorsqu’on doit faire face à certains types de toxines particulièrement rebelles, comme c’est notamment le cas dans le traitement des vaccins.


5.2 – Le soutien des défenses immunitaires
Les défenses immunitaires ayant un rôle essentiel dans le nettoyage des substances indésirables, il est évident qu’il y a tout intérêt à les soutenir le plus possible. En plus d’une nourriture appropriée (où l’on évitera tout ce qui peut surcharger le système immunitaire : produits laitiers, gluten, etc.), on peut utiliser :

La Crisolite [6]
Ce produit DINA PLANT est un modificateur de terrain à large spectre qui s’est souvent révélé performant dans des domaines très divers :
- en cas d’éliminations massives associées à des rhumes, des angines, des bronchites, etc.
- pour remédier à un mal-être tenace suite à une anesthésie.
- pour traiter des infections aussi diverses qu’incompréhensibles.

Quelques autres produits
Les mêmes produits ne convenant pas à tout le monde, chacun devra rechercher ceux qui lui conviennent. A titre indicatif, nous signalerons : le chlorure de magnésium (à utiliser avec précaution), l’ail cru, les clous de girofle (à mâcher), certains champignons comme le shitaké et le maïtaké, le desmodium.

5.3 – Le soutien des intestins
Certains disent : " les intestins : c’est la vie ".

La Propolis
Ce produit trop méconnu nous est apparu suffisamment intéressant pour être signalé ici. Deux choses sont à retenir :
- d’une part, elle permet souvent de venir à bout de vieilles mycoses intestinales, généralement ignorées et très nuisibles pour la santé. A noter que la présence de ces mycoses n’a en soi rien de surprenant vu l’énorme quantité d’antibiotiques ingérés suite aux prescriptions médicales ou tout simplement largement présents dans l’alimentation quotidienne.
- d’autre part, elle régularise souvent remarquablement la flore intestinale.
De plus, on peut l’associer avec profit à des algues comme le fucus, le lithotame, etc., ce qui permet de lutter du même coup contre certaines carences.

Nous noterons également pour mémoire l’hydrothérapie du colon qui, faite avec tout le soin que cela exige, donne parfois d’excellents résultats, y compris sur le plan psychique.

5.4 – L’élimination des toxines
La meilleure formule nous semble consister à éliminer les toxines en respectant la chronologie qui va suivre.

   Le traitement des toxines générales
Il faut se souvenir que l’élimination des toxines en général faisait en quelque sorte partie du mode de vie il n’y a pas si longtemps. Plusieurs moyens étaient couramment employé comme : le jeûne périodique, les purges, les lavements intestinaux et les tisanes. D’ailleurs, il est facile de constater que les animaux, même domestiques, se purgent spontanément quand ils en ont la possibilité ; donnez de l’herbe bien verte à votre chat et vous pourrez le constater.

La purge
A titre indicatif, on peut utiliser pour se purger un mélange de sulfate de soude et de sulfate de magnésium : 1 cuiller à soupe de chaque dans un verre d’eau un matin.
Reste à prévoir une journée parfois assez " agitée " au cours de laquelle il est plus prudent de rester chez soi !

On peut également faire de temps à autre, lorsqu’on ne se sent pas bien, une cure avec les " Poconéol " n°1 et 7 indiqués précédemment. Il est possible aussi d’y ajouter un Poconéol spécifique correspondant à une pathologie quelque peu chronique.

Le Lapacho
L’aubier de cet arbuste largement utilisé par les Incas pour sa polyvalence dans de nombreuses pathologies mérite une attention toute particulière. Une cure un peu prolongée (1 mois et demi) permet parfois d’obtenir une amélioration générale spectaculaire du fonctionnement du foie et du pancréas.
Le seul problème concerne sa préparation qui exige un soin tout particulier vu la fragilité des principes actifs [7].

   Le traitement des métaux lourds
La présence des métaux lourds dans l’organisme est largement admise aujourd’hui et semble constituer un facteur de toxicité très important. Ainsi, la présence d’aluminium dans le cerveau des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer pose de sérieuses questions. D’où viennent ces produits ? On peut citer plusieurs sources indiscutables : les amalgames et les alliages utilisés en dentisterie, certains médicaments, des vaccins et pour la plus grande part : la nourriture.
Le problème à résoudre est de savoir comment s’en débarrasser.
La principale difficulté vient du fait que ces produits se complexent et se stockent dans l’organisme sous des formes qui les rendent très difficiles à éliminer spontanément par les voies normales. Pour faciliter leur élimination, on a intérêt à recourir à des produits de chélation [8]
Deux produits nous semblent particulièrement commodes et performants :
- une algue : la chlorella (Attention : à utiliser avec beaucoup de précaution).
- la choucroute crue (biologique), qui apporte en outre de la vitamine C et du calcium faciles à assimiler, des fibres et des bactéries lactiques particulièrement bénéfiques pour la flore intestinale.

   Le traitement des radicaux libres
L’étude de la bioélectronique montre que le potentiel d’oxydo-réduction du sang (rH2) constitue un des éléments clés de la santé. En résumé, plus le terrain est oxydé, plus le risque de maladie de dégénérescence est important. Il semble aujourd’hui largement admis que les radicaux libres jouent dans ce domaine un rôle de première importance. Deux éléments sont à prendre en compte :
Le rôle de la nourriture. Il est évident que celle-ci est largement concernée du fait qu’on y a introduit massivement des molécules de synthèse. Le problème qui se pose peut être résumé comme suit : ces molécules se décomposent dans le système digestif et il est certainement très difficile, sinon impossible, de prévoir exactement à quels produits et à quelles recombinaisons ce processus de dégradation peut donner naissance.
Le rôle du stress. On parle de plus en plus du stress oxydatif comme d’un facteur de nuisance important à ne pas négliger.

Il existe sur le marché beaucoup d’antioxydants censés améliorer la situation. Deux d’entre eux nous semblent suffisamment intéressants pour être cités :
- le sélénium sous forme de granions.
- la Mégamine [9].

   Le traitement des toxines spécifiques
La technique que nous proposons pour débarrasser le corps des séquelles des produits qui ont pu laisser des traces est basée sur le principe de l’isothérapie. Elle consiste à présenter à l’organisme " l’image énergétique " du produit dont on veut obtenir la désensibilisation et à obtenir par ce biais une réaction d’élimination contre les traces de celui-ci. Certains parlent de " déprogrammation ".
Pour ce faire, nous faisons souvent appel, outre les produits homéopathiques classiques, à un ensemble de Hautes Dilutions appelé : Homéopatch.

Un " Homéopatch " : qu’est-ce que c’est ? [10]
La présentation
Son concepteur le décrit comme suit :
"Un homéopatch est constitué d’une enveloppe en matière plastique qui renferme, incorporées à un gel, toutes les dynamisations comprises entre 9 CH et 376 CH (pour la référence Super n) d'une ou de plusieurs substances homéopathiques. Cette enveloppe est généralement portée autour du cou au moyen d'un brin de laine, comme un pendentif.
Les substances utilisées sont choisies par le thérapeute en fonction du tableau clinique présenté par le patient, en respect des méthodes traditionnelles du choix des remèdes homéopathiques".

Le mode d’action
Il est défini comme suit :
"Les dynamisations homéopathiques ainsi proposées à l'organisme permettent à celui-ci d'obtenir à tout moment une information (ou message homéopathique) adaptée. Dans cette technique d'homéopathie par voie cutanée, l'organisme se sert dans le spectre des fréquences qui lui sont présentées, lequel résulte des différentes dilutions qui ont été associées. On s'approche ainsi à chaque instant un peu plus de l’état d'équilibre optimal".
Pour plus d’informations sur cette technique : lire le livre Désintoxin – Homéopathie du Dr Antoine Florain édité par DésIris (1999).

Il faut insister sur l’originalité de ce procédé, puisqu’il n’y a aucun contact direct entre la peau et le produit utilisé (enfermé dans un sachet étanche).

Comment choisir les Homéopatchs appropriés ?
L’utilisation de ces produits nécessite les conseils d’un médecin formé à leur utilisation. Il faut noter que leur composition normale ne comprend en principe que des dilutions Hahnemanniennes.
Cependant, dans certains cas, notamment pour le traitement des vaccins, on peut améliorer l’efficacité en y ajouter des dilutions Korsakoviennes (30 K, 200 K, 1.000 K, etc.).

Les effets possibles
Il faut insister sur le fait que cette technique est susceptible de provoquer des éliminations très importantes par les voies naturelles sous la forme de rhumes, angines, bronchites, diarrhées, pleurs, boutons, etc., souvent associées à une fatigue parfois intense. L’important, c’est de limiter l’ampleur de ces crises en adaptant le traitement, quitte à l’interrompre provisoirement en enlevant le patch.

La chronologie du traitement
Lorsqu’on doit faire face à plusieurs types de toxines, ce qui est généralement le cas aujourd’hui, il faut analyser soigneusement la situation. En effet, on a constaté que l’ordre dans lequel on effectue la désensibilisation conditionne souvent les résultats. Tout se passe comme si la présence de certaines toxines constituait un barrage qui gêne, voire interdit, l’élimination des autres.
A titre indicatif, nous conseillons de traiter dans l’ordre suivant :
- les anesthésies, y compris les anesthésies dentaires.
- les antibiotiques.
- les vaccins.
- les médicaments et les produits chimiques bien identifiés.
- les autres produits (lait, gluten, cigarettes, etc.) et notamment ceux auxquels la personne est allergique. Une recherche systématique des allergies peut alors s’avérer bénéfique.

5.5 - Le cas particulier des vaccins
Il faut savoir que les vaccins se composent de deux grands types de produits :
- une souche vaccinale préparée à partir des éléments microbiens contre lesquels on veut "vacciner",
- des adjuvants divers dont certains, comme l’hydroxyde d’aluminium, sont destinés à exciter les défenses immunitaires.
Pour des raisons techniques impossibles à exposer dans le cadre de cette étude, il vaut mieux dissocier ces deux types de composants et utiliser deux Homéopatchs : l’un réalisé à partir du vaccin complet, l’autre à partir des seuls adjuvants.

Le problème spécifique posé par l’hydroxyde d’aluminium
Il s’avère que cette molécule est particulièrement stable et difficile à chélater. Le produit que nous avons provisoirement retenu est le Malate de magnésium [11], lequel permet un échange des atomes de magnésium et d’aluminium, ce qui détruit la molécule d’hydroxyde d’aluminium.

Le déroulement du traitement
L’expérience montre que l’élimination des séquelles vaccinales est souvent délicate. La meilleure méthode actuellement semble être la suivante :
1 – Commencer par une cure de Malate de magnésium associé aux draineurs que nous avons indiqués (Poconéol et Drainavy) afin d’éliminer au mieux l’hydroxyde d’aluminium.
2 – Attendre que les éliminations et le mal-être éventuels consécutifs à ce traitement aient disparu avant de passer à la phase suivante.
3 – Utiliser ensuite les Homéopatchs correspondant aux différents vaccins à traiter sans oublier de poursuivre le drainage.
Si les Homéopatchs ne donnent pas les résultats escomptés, on peut avoir recours à la méthode Elmiger.
NOTA - Deux voies sont possibles : soit mettre toutes les souches vaccinales ensemble dans le même Homéopatch, soit procéder séparément. Il nous a semblé que cette dernière formule était préférable lorsqu’il s’agissait de "déprogrammer" un vaccin ayant laissé une empreinte importante, comme par exemple le BCG ou l’hépatite B. La meilleure solution sera donc à évaluer au cas par cas.

L’expérience montre que l’élimination des séquelles des vaccins prend souvent beaucoup de temps le terrain ne se nettoyant que progressivement.


Conclusion
Nous insisterons particulièrement ici sur le fait que ce document doit être avant tout considéré comme une base d’informations destinée à évoluer et à s’enrichir au fil du temps avec les expériences de chacun.

En ce qui concerne la santé, il faut être totalement conscient de trois choses fondamentales :
- d’abord, que si quelque chose va mal dans notre corps, c’est qu’on a transgressé une des lois fondamentales qui régissent son fonctionnement.
- ensuite que tous les hommes sont différents, ce qui implique que les mêmes symptômes ne sont pas issus forcément des mêmes causes.
- enfin, que plus on est malade, moins il faut brusquer les choses (sauf cas d’urgence). Il faut admettre une fois pour toute que ce qui a mis parfois des années à se détériorer peut difficilement se réparer en profondeur en quelques semaines.

Ce qui nous amène à conclure :

Qu’il ne peut pas exister de soins standardisés.

Que la recherche de la santé ne peut être qu’une affaire personnelle qui exige d’être attentif et d’y consacrer le temps et l’énergie nécessaires.

Il convient donc d’être un patient … patient !



ANNEXE


[1] Pour plus d’informations sur ces pollutions, les moyens de les mesurer et le Biorupteur, on peut s’adresser à : Francine Delvaux - 22, rue du Chalet - B 4920 Aywaille en Belgique.

[2] Pour plus d’informations, voir la Société Coplan - B.P.13 - 28560 Berchères sur Vesgre.

[3] La neuralthérapie est une technique, couramment utilisée de nos jours en Allemagne et en Suisse, qui a presque disparu en France [3].
Pour plus d’informations, on peut consulter le Dr Michel Moreau – les Biards – 87590   Saint Just le Martel –Tél : 05 55 00 29 08.

[4] Pour plus d’informations, on peut se reporter au n° 24 de juin 2002 du journal " Soignez-vous " - B.P. 189 – 75226   PARIS Cedex 05 –Site http : // soignez-vous.com.

[5] Ce produit est distribué par : NATUREVY - S.A.
17 A – Avenue Fond Jean Rosy – B 1330   RIXENSART – Belgique
e-mail : naturevy@infonie.fr - www.naturevy.com - Tél : 0474932803

[6] Pour plus d’informations, s’adresser à :
Labo 1000 – rue de la Vignette, 104 – B 1160 BRUXELLES ou
FRYNS A.V.M.b.v.b.a. – Wndmolenstraat 34/3 – B – 3500 – Hasselt (Belgique)
Tél : 011/21 23 05 – Fax : 011/21 19 53

[7] Prendre 1/2 litre d’eau pure (eau du Mont Roucous par exemple). Mettre une cuiller à soupe de Lapacho. Faire macérer au moins 5 à 6 heures à la lumière naturelle, si possible au soleil. Filtrer et récupérer le liquide.
Prendre un autre 1/2 litre d’eau. Y mettre l’aubier ci-dessus. Faire bouillir environ 10 minutes. Mélanger les deux 1/2 litre. A consommer selon les besoins.

[8] La chélation est une réaction chimique qui permet de dissocier la molécule d’un produit donné.

[9] Pour plus d’informations, consulter Hasur TCF – Lieu-dit Hinterwald – 67250 HUNSPACH – Tél : 03 88 80 59 75.

[10] Les Homéopatchs sont distribués par la pharmacie des Archers – 1 rue des Archers – B.P. 30 – 51201   EPERNAY Cedex – Tél : 03 26 55 30 00

[11] Ce produit est distribué par SMART CITY S.A. – B.P.3015 – L – 1030   Luxembourg Tél : 00 352 264 955 57 – Fax : 00 352 261 904 55 - info@supersmart.com




 
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